L’accord collectif doit enfin définir les modalités de fonctionnement.
Des moyens doivent être attribués aux représentants de proximité.
Il s’agit de moyens matériels (ordinateurs, téléphone, local…), financiers (heures de délégation, remboursement de frais de déplacement…), voire humains (mise à disposition du personnel du CSE tel que le secrétariat…).
Il pourra également être prévu :
– un droit à la formation pour le représentant de proximité
– un droit d’information (accès à la BDES, aux PV du CSE…)
– des moyens de communication (affichage, intranet de l’entreprise).
Il est par ailleurs utile de préciser la liberté de déplacement du représentant dans l’entreprise.